Merhaba ( = bonjour)

On continue notre découverte de la Turquie, le premier pays hors UE et musulman de notre voyage. Sur la route (pas très lisse) dans l’arrière-pays, on croise régulièrement des animaux : chiens, chats, moutons, chèvres, poules, dindons. On voit beaucoup de bergers et bergères, et de paysans et paysannes. On admire la souplesse des turcs et turques âgés, que l’on voit parfois assis à même le sol dans leur cour pour faire le pain traditionnel. 

A Saklikent, le niveau de l’eau élevé raccourcit la visite du canyon. La zone très fréquentée en saison ne compte que quelques touristes à cette période. C’est donc avec surprise que Tatiana a entendu le mot-clé « Ardèche » et l’a attrapé au vol. Nous avons ainsi passé l’après-midi à discuter avec Camille et Vincent, infirmière et infirmier de l’Ardèche du sud, en camping-car pendant un an avec leurs 3 enfants.

Le lendemain, on voit les dents d’un chien de très près. On a déjà croisé pas mal de chiens pendant notre voyage, et va savoir pourquoi, c’est fréquent qu’ils en aient après les bicyclettes. Par la suite, la méthode de descendre du vélo s’avérera assez efficace pour calmer ces animaux. Et si besoin, on applique la « formation tortue » : on marche entre les 2 vélos. Merci les cyclistes pour le partage de l’astuce 😉

Dans une petite ville, nous retirons de l’argent aux « PTT » (la Poste, ça devrait parler à certain-es d’entre vous). Nous admirons les nombreuses voitures Renault qui doivent bien avoir 40 ou 50 ans, et qui roulent bien. Et nous faisons un arrêt au supermarché… Situé au rez-de-chaussée d’une mosquée.

On apprécie aussi le décalage horaire d’une heure de plus qui nous permet de gagner de la lumière en fin de journée.

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