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Alors que nous quittons l’Italie après 2 mois à l’avoir cotoyée, nous partageons en guise de bilan quelques éléments qui nous ont marqués :  —Nous sommes aussi contents de nos progrès en langue : à la fin du séjour, Julian a de bonnes bases et Tatiana converse facilement grâce aux souvenirs des cours d’italien du […]

La petite ville d’Ostuni, aussi appelée la « città bianca » (cité blanche), est notre base pour une semaine. Monika et Friedhelm, la mère et le beau-père de Julian, nous y rejoignent. Pas de tente et de duvet à plier tous les jours, savoir où l’on dort tous les soirs, faire à manger dans une vraie cuisine, côtoyer

Pour le réveillon, nous allons dans les Pouilles, « le talon de la botte italienne ». Nous nous rendons chez Ernesto, dont les copaines de Toulouse Marion et Cristobal nous ont donné l’adresse. Ernesto, la 30aine, nous accueille dans la maison familiale près de Lecce. Nous passons une jolie soirée avec lui et Greta, sa compagne. Il

Aidés par nos fidèles bolides et le réseau ferré italien, nous faisons une virée à Matera. Une première nuit en bivouac nous donne à voir le plus beau lever de lune qu’on ait jamais vu. Elle est apparu, énorme, pile derrière un clocher au loin sur la montagne. Splendide. La ville de Matera est remarquable

Pour Noël, c´est Gennaro qui prend soin de nous. Cet italien de 35 ans a fait plusieurs grands voyages à vélo autour du monde. Nous avons fait sa connaissance grâce au site web Warmshowers (voir plus bas). Il est de retour pour quelques mois dans le village où il a grandi : San Demetrio Corone,

Le 3ème parc naturel que nous traversons en 2 jours s’appelle Sila. Il est à 1.300 m d’altitude environ. Comme nous sommes bien redescendus, c’est un bus (dont le modèle a été changé exprès pour accueillir nos vélos, sympas les italiens) nous aidera à atteindre cette hauteur. Nous prenons l’option hôtel, car il fait trop

La pluie s´arrête et nous pouvons enfin profiter des belles petits routes au milieu des forêts. Comme nous sommes à plus de 1000 m d´altitude, il fait froid et les gants sont indispensables. A 15h, dans le village de Fabrizia, alors que nous hésitons sur le fait de chercher un endroit où dormir ou de

Nous sommes en Calabre, la grande région qui correspond à la “pointe de la botte italienne“. Nous souhaitons faire une partie de la Ciclovia dei Parchi Calabria, une véloroute qui traverse 5 parcs naturels sur plus de 500km, au centre de la région. Pour éviter une première terrible cote, nous prenons un mini-bus (qui peut

“Amone“ = “on y va“ en dialecte sicilien, une expression qu´on nous a apprise et qui attirait la sympathie de nos interlocuteurs quand on la prononcait. Nous repartons de chez Carlo en train, en direction de l´Italie continentale. Pour la rejoindre, nous traversons le détroit de Messine, large de 3 kilomètres… en train : celui-ci

Alors qu’une grosse pluie est annoncée, nous trouvons refuge chez Carlo, un agriculteur d’une 60aine d’années membre du réseau des Galline Felice. Il nous accueille dans son « agriturismo » (logement de vacances à la ferme) gracieusement, contre à peine quelques coups de main. Nous y restons plusieurs jours, car la forme et le moral le nécessitent,