Arrivederci Italia – Tentative de bilan

Alors que nous quittons l’Italie après 2 mois à l’avoir cotoyée, nous partageons en guise de bilan quelques éléments qui nous ont marqués : 

  • L’hospitalité et la générosité des italiens et italiennes nous a touchés, on ne connaissait pas ça dans nos pays respectifs. Ça nous donne un modèle à atteindre à notre retour.
  • Il y a en Italie une proximité et une qualité de service : moins de grandes chaînes qu’en Allemagne et en France, mais beaucoup de petits commerces indépendants (épiceries, quincailleries, laveries…) qui, en plus de permettre une vie plus longue aux objets, mettent de l’humain dans les relations commerciales.
  • Mention spéciale aux services de transport public (bus régionaux et trains) et aux personnes qui y travaillent : elles ont toujours voulu nous aider ! 
  • Côté route : ici le klaxon (court) ne signifie pas « pousse-toi grognard ! » mais un sympa « salut ! » ou un gentil « attention je vais doubler ». Merci aux conducteurs et conductrices de Calabre qui nous doublent avec distance et ralentissant : on adore !
  • Évidemment il y a la bonne nourriture, qu’on a tenu à goûter pour vivre une expérience complète 😉 Notre vino rosso préféré : Primitivo di Salento 🍷


Nous sommes aussi contents de nos progrès en langue : à la fin du séjour, Julian a de bonnes bases et Tatiana converse facilement grâce aux souvenirs des cours d’italien du lycée. On ne nous prend plus, comme au début du séjour, pour un français et une espagnole.

Maintenant, rendez-vous dans un pays dont nous ne connaissons ni la langue ni l’alphabet ! La Grèce, ça va être une nouvelle aventure.

Grazie mille per i meravigliosi incontri,
Stephania, Alberto, Francesco, Pietro, Roberto, Santo, Pasquale, Leonardo, Francesca, Adrien, Valéria, Simeone, Carlo, Angela, Rocca, Rebecca, Pepino, Antonio, Giovanna, Gennaro, Ernesto, Greta, Piero, Bianca e tutti gli altri. È stato fantastico!

1 réflexion sur “Arrivederci Italia – Tentative de bilan”

  1. Quel beau bilan vous faites de ce parcours en Italie du sud !
    On dirait que c’est resté plus humain, avec plus de proximité.
    Mais j’ai juste une crainte : que vous retourniez vous y établir là-bas …
    Bisous

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